Élisez le meilleur Espoirs de la saison 24/25 !

La saison touche à sa fin pour nos Espoirs, une année positive pour la SIG Strasbourg. Cette saison a été placée sous le signe de la nouvelle ère, entre l’arrivée de Patrice Koenig au coaching et le renouvellement de l’effectif tout en gardant une base solide. Epaulé tout au long de l’année par le partenaire majeur du centre de formation, le Crédit Agricole Alsace Vosges, nos jeunes ont su faire leur place dans ce championnat plus que jamais dense. Patrice Koenig revient sur la saison et le développement des joueurs et donnent son choix concernant le titre de MVP de la saison 24/25. 

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Le Crédit Agricole Alsace Vosges est partenaire de la SIG Strasbourg depuis plus de 25 ans. Depuis 3 saisons, le Crédit Agricole Alsace Vosges a fait évoluer son partenariat en s’axant sur le Centre de Formation. En tant que sponsor des équipes Espoirs et Cadets du Centre de Formation, le Crédit Agricole Alsace Vosges soutient l’émergence de nouveaux talents sportifs.

La parole au coach Patrice Koenig

On entre dans la dernière ligne droite de la saison. Comment se passe-t-elle jusqu’à présent ?
P.K. : "Pour l’instant, la saison se déroule plutôt bien. Il y a une belle dynamique à l’entraînement, le groupe travaille sérieusement, et ça se reflète au classement. Depuis le début, on est resté dans le top 5. L’objectif, c’est de continuer sur cette lancée pour décrocher une place au Trophée du Futur.
Sur le plan collectif, on a les atouts pour rivaliser : des joueurs athlétiques, de bons gabarits à l’intérieur, et un meneur dominant, Maxence Lemoine. Ce sont des bosseurs, avec une vraie éthique de travail. Je tiens aussi à saluer le staff, qui fait un travail remarquable pour les mettre dans les meilleures conditions."

Ton regard a-t-il changé depuis ton arrivée ?
P.K. : "Depuis 5 ou 6 ans, j’ai toujours suivi de près le championnat Espoirs, notamment les joueurs de la SIG Strasbourg. Durant mes cinq saisons à Holtzheim, j’allais souvent au Rhenus dès que j’en avais l’occasion, pour assister aux matchs.
J’avais déjà une idée assez précise du niveau, donc je n’ai pas eu de réelle surprise. Cela dit, je trouve que les jeunes joueurs sont de plus en plus performants et précoces. On voit moins de joueurs en dernière année Espoirs, ce qui change un peu la physionomie du championnat."

Quel est ton regard sur le championnat Espoirs en général ?
P.K. : "C’est un championnat dense, très disputé. Le niveau varie selon les stratégies mises en place par les centres de formation, que ce soit sur le court ou le long terme.
Bien sûr, les résultats comptent, mais pour nous, ce qui prime, c’est la progression individuelle des joueurs à la fin de leur parcours. Obtenir un diplôme, les accompagner dans leur projet post-bac, et les aider à réaliser leur rêve de devenir joueur professionnel, c’est notre mission. La concurrence est rude aujourd’hui, les carrières sont courtes et fragiles, alors on doit être présents à tous les niveaux : scolaire, sportif et personnel."

Le Crédit Agricole Alsace Vosges organise un vote pour élire le MVP. As-tu un nom en tête ?
P.K. : "C’est toujours délicat de mettre un joueur en avant dans un sport collectif. Chacun dépend du travail des autres. Mais s’il faut citer le joueur le plus régulier actuellement, c’est Maxence Lemoine. S’il en est là aujourd’hui, c’est aussi grâce à ses coéquipiers : Harold, Alexy, Mathéo, Erwan, et tout le reste du groupe. C’est la performance collective qui lui permet de briller."

Quelle est l’importance du partenariat avec le Crédit Agricole Alsace Vosges pour l’équipe et le Centre de formation ?
P.K. : "C’est un soutien précieux. Le Crédit Agricole est une institution reconnue dans tout le Grand Est, et c’est rassurant de se sentir accompagnés par une entreprise qui partage nos valeurs.
Ce partenariat ne se limite pas au volet sportif : il offre aussi aux jeunes la possibilité de découvrir les métiers du monde bancaire, et plus largement ceux qu’on retrouve dans une grande entreprise. Les joueurs sont curieux, et certains pourraient bien y trouver une voie professionnelle si leur carrière sportive ne leur permet pas d’en vivre. C’est un vrai plus dans leur formation."

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